C’est vrai qu’il est beau, le vignoble suisse avec ses pentes. Dommage que souvent le cours du franc suisse, le prix horaire de la main d’oeuvre agricole et les conditions climatiques incitent à tant faire pisser la vigne. Quand ce n’est pas le cas, on se régale du chasselas et des « spécialités », et des dizaines de cépages inconnus ailleurs. En outre, la capsule à vis y a largement fait disparaître le goût de bouchon, encore si prisé par les iguanodons.
Quand on suit en train le Genfer See sur sa face helvétique, on en prend déjà plein la vue. Oui je sais, ce n’est pas vraiment le Valais. Visitez Aigle : le château (Musée de la vigne) flotte sur un océan de ceps ....
Tiens, quand j'aurai 26 €, je me l'offrirai, ce livre.