@ Ludovic
Et bien voilà, comme cela on est fixé.
Ta demande lapidaire, Ludo, a suscité une réponse – je n’y étais pas obligé mais n’ai pas l’habitude de me défiler.
Et comme je ne loupe jamais une occasion d’être désagréable envers l’establishment – cela ne sert pas à grande chose mais à bientôt 60 balais, je ne me referai pas (It’s the DNA, that made me this way ... etc voir Queen) – et que le blog du Taulier regorge de ses défenseurs patentés, je me suis mis en demeure d’expliquer la formule, jugeant (à tort et un peu vite, je le concède) que tu faisais partie du nombre.
Avant d’être vigneron, j’étais surtout amateur de vin – je le suis resté – et eut l’occasion non seulement de parcourir l’Andalousie en long et en large, mais même d’accueillir ses représentants à Bruxelles. Je vous accorde que les « tous petits » sont rares dans les albarizas. Néanmoins, il est des almacenistas de taille plus réduite et cette maison-ci est vraiment caricaturale.
Maintenant, dans l’espace de liberté de J. Berthomeau, on a parfaitement le droit de défendre les maisons établies, et la « croissance », et la « création de richesse » (qu’est-ce que cela veut dire ?), et le marketing. Je n’ai pas fait ce choix-là, ne prétends pas avoir forcément raison mais aime à faire entendre mon son de cloche, même si certains interprêtent ceci comme « le son de la cloche que je suis ». No problemo !
Merci de tes explications et de ton temps : le côté « artistique » ou culturel des enseignes est acceptable, comme le négrillon de Banania, le « P’tit Nicolas » du marchand de vin ou l’écureuil de la Caisse d’Epargne. Mais qu’on les enlève ne me prive pas de mon sommeil, ni les bustes de Staline, ou de Bonaparte ....