Dès que la mémé Marie ou la tante Valentine entrent en scène à Bourg-Paillé, me voilà parti sur mon petit vélo rouge, par la Touche et Ricordeau...
Je ne crois pas qu'il y ait un vin pour accompagner les caillebottes. Pour moi c'est à la fois un dessert et une boisson. De l'autre côté du boug de La Mothe, en haut de "monte à peine", en mai juin, c'était à 5 heures en revenant de l'école que nous avions notre assietée (assiette à calotte) de caillebotte après avoir mangé la tartine de beurre avec les cerises du jardin...
J'allais chercher de la chardonnette, de la vraie ( et non de la presure) chez le grand René Denis, on me comprendra!
C'est vrai que les caillebottes ça nous manque.