@Irène.
Ce n’est pas la case qui compte, Irène, j’en couviens. C’est simplement que certains types de personnes conviennent mieux à certaines musiques que d’autres, par back-ground culturel ou par sélection. Les chanteuses blanches, je n’ai pas dit qu’elles étaient mauvaises. J’ai dit qu’il y a des centaines – peut-être des milliers - de négresses (le mot n’est pas dé...nigrant pour moi) bien meilleures mais que Blue Note ou les autres « majors » ne souhaitent pas pousser simplement à cause de la couleur de leur peau.
Par analogie, les Kényans et les Ethiopiens sont des coureurs de fond exceptionnels, non pas à cause de leur nationalité, mais parce qu’ils ont une conformation anatomique de la base de la jambe et de la cheville tout à fait particulière, et parce que, depuis qu’ils sont gosses, ils marchent 15 km pour aller et puis revenir de l’école, tous les jours. Quand ils sont scolarisés, s’entend. Et puis parce qu’ils s’entraînent en altitude etc ....
Pour jouer de la salsa, c’est plus facile quand on est cubain. Pour la java et le musette, c’est sans doute vous (connais pas bien, c’est pas trop mon truc).
Quant à Zaz, c’est gentillounet, comme la petite Ruiz, je l’accorde. Mais bon, elle n’est pas la nouvelle Joan Baez non plus.
L’intérêt du blog du Taulier, c’est qu’on y croise toutes sortes de gens, assez ouverts pour la plupart (voire extravertis, suivez mon regard dans un miroir). Aves I T, je ne suis presque JAMAIS d’accord. Et il n’y a pas de mal à ça. Par contre, l’affirmation que « quand c’est bon, ça se vend » est totalement indéfendable. Bien plus, elle trahit un état d’esprit ... incompréhensible pour moi. Mon idéal serait : quand c’est bon, c’est dommage qu’on doive le vendre ! Il n’aime PAS le commerce, le Léon.