Réponse :
1.
Arto Paasilinna avait levé un gros lièvre aussi et un « petit nouveau » (né en 1974) marche sur ses pas : il s’agit de Tuomas Kyrö, traduit (excellemment) par la même personne. Je vous recommande son « Les Tribulations d’un lapin en Laponie ».
2.
Mes « coûts » à moi ne sont pas comparables à ceux d’une structure aux vignes plus productrices, avec une main-d’oeuvre plus efficace et qualifiée (je suis mon propre ouvrier, âgé et sans aucun diplôme en la matière), jouissant d’économies d’échelle. Un exemple : je paie (HT) plus de 40 cents pour une bouteille, 41 cents pour un bouchon en verre, 30 cents mon étiquette et plus d’1,30 euro le carton + berceaux (donc 23 cents par bt logée). Chez E & C, l’habillage revient à moins de 50 cents. Un domaine de qualité installé à l’entrée de la vallée de l’Agly, dans les mains d’une famille que j’estime beaucoup, vend régulièrement des vins d’AOC de mon coin à des tarifs similaires, TTC, et il est bon. Je pense donc que c’est possible. Mon seul commentaire : moi, je n’y arrive pas. Maybe I don’t try hard enough (en anglais pour faire plaisir au Taulier).