Tres belle chronique pour nous rappeller la relativite des definitions du pur et du nature.
Si j'avais le talent de Jacques je vous parlerait de l'egale relativite de ce que certains qualifient de defauts du vin.
Depuis que j'ai vu des amateurs se precipiter avec ravissement sur des vins avec des gouts de pomme pourrie et des odeurs d'huile de noix rance, je ne me permet plus jamais de parler de vin a defaut.