Salut Luc,
Je ne te crois envahi d'une utopie puérile ou d'un égoïsme éhonté mais je crois tout simplement que tu pars d'un postulat qui est erroné : des vignerons et/ou vins "bons". À moins de ne pas comprendre la subtilité, peux tu me définir ce que tu appelles "bons" ? Et de rajouter ce que le consommateur trouve de "bon" ? Ma question est sérieuse et renvoie finalement à un passage de l'article de Jacques… Question ouverte bien entendu ! A+