Jacques votre billet m'a beaucoup amusé. Je me suis revue (non pas à la plage, je déteste la bronzette) mais en pique-nique sur l'herbe a essayer vainement de trouver une position confortable pour lire. Je ne peux que partager votre vision de l'intérêt des livres sous format papier. Cette relation sensuelle avec le livre, son odeur, le grain du papier, la possibilité de griffoner, souligner, écorner ne serait plus possible. Ce serait quelque part comme une dépossession de l'objet littéraire...
Bien à vous.
Sonia l'Auvergnate