Merci Jacques de cet éclairage. Moi aussi je suis fasciné par la grandeur rapide et éphémère du vignoble nord-africain. Est-ce à cause du Carignan qui coulait alors dans les campagnes des jours
heureuux ? J'ose le croire...
Juste un peu déçu par le manque d'infos concernant ce (probable) négociant Frédéric Lung. Mais peut-être en aurais-je en cliquant sur les liens...