Bonjour Jacques,
Passionnant le papier de ce matin. Espérons que tu n'auras rien à retirer. Merci pour ton
rôle de passeur...
Je me suis tellement battu (à mes risques et périls...) pour ne pas arracher mon très
vieux Carignan, en constatant, moi aussi, que la maladie régressait spontanément l'année après la primo-infection, et que deux ans après un cep qui avait paru moribond pouvait être en pleine
santé...
Amitiés,
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Commentaire de le Taulier pour un vigneron Audois un peu parisien
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