Attention les compas ont une pointe ....mais s'il n'y a ps de danger, ou est le plaisir ? La pomme ceuillie sur la pointe des pieds le bras en extention maximale est plus belle que celle à portée de mains. Mais aussi il n'y a pas que la vue pour attiser les sens. Rien ne résiste au signe avant courreur que constitue le tip tap des hauts talons qu'on entend alors même que la belle n'a pas encore tourné le coin de la rue pour passer devant la terrasse du café ou l'on passe un moment.Il n'y a aucune lecture qui retienne l'attention , aucun polar sur le point de livrer le dénouement tant attendu, aucun résultat gagant au loto, pas même la lecture d'un billet doux plein de promesse...non, pas même....on ne se refait pas.
C'était mieux avant ....! si si si .Il y avait, dans le tour de France,une authentique dimension homérique qui était soulignée par les journalistes et non fabriquée comme aujourd' hui ou la technologie embrouille tout comme la "fabrication" du tour qui répond à des besoins et des raisons commerciales " pour le rendre intérressant ".On ne voit plus les moufflets tracer dans le sable un parcours et avec une bille pour chaque figurine de coureur : on la lancait d'une pichenaude tentant de dépasser celui qui était devant.Au florilège de cycliste énnoncé par le Taulier je voudrais ajouter mon préféré André DARRIGADE l'un des plus grands sprinter- routiers de l'histoire du cyclisme avec un panache ébouriffant !