Chez les rats, je ne sais pas, j’en fréquente peu. Mais chez l’être humain, les « cellules du cerveau » comme tu dis, en tout cas les neurones – car il en est d’autres – on nous apprend à la fac qu’il n’en existe qu’un nombre fixe, et qu’elles déclinent en quantité dès le premier jour de notre existence. Par contre, nous sommes capables de refabriquer des connexions, ça oui.
Dans le cas de Léon, que tu peux ajouter aux sujets de tes études, le nombre des unités d’alcool (quelqu’en soit la nature) qu’il ingurgite est supérieur à 3,5 / jour, mais le nombre de ses coïts bien inférieur. Le temps passant, je bois de plus en plus mais m’accouple de moins en moins : boire ou jouir, il faut choisir !