@ Taulier
Jacques, « prospectant » Paris en juin 2012 (sans succès durable d’ailleurs), Christine et moi avons fait une dégustation dans le quartier des Batignolles (7ème ?) et cette demoiselle, casquée d’abord, toute fraîche et pimpante dès qu’elle l’eût enlevé, a fait une brève apparition, son véhicule joliment béquillé sur le trottoir. Donc, j’étais au courant de son mode de déplacement. En plus, il me semble que tu y es revenu récemment ... du temps où tu écrivais encore des blogs.
Curieuse coïncidence, un excellent ami, qui a été à l’origine de l’ouverture du Blue Elephant à ses débuts parisiens pour le compte de financiers belges, après avoir tenu à Bruxelles un excellent restaurant d’inspiration bahianaise (et plus généralement brésilienne), m’a parlé hier soir au téléphone de différentes égéries franciliennes devenues marchandes de vin (ou intermédiaires en tout cas). Parmi les prénoms évoqués, tous à consonnance charmante et/ou exotique, figurait celui de ton amie, la fille d’Etienne.
La son de son nom à du résonner comme un gong dans le front de cette Ninon aux chapons !
Voilà qui tient à la fois de l’assonance et de la paréchèse, non ?