La lecture de cet article est à la fois jubilatoire et consternant. Tout est dit :
- dans la finalité (convaincre les clients… car il n’existe aucun autre moyens)
- dans la démarche entreprise (un chemin long et difficile… la jouissance perverse de l’INAO. Toute l’énergie mise à constituer les dossiers, tout l’argent investi, à combattre et le les fonctionnaires et surtout les « professionnels » des commissions seraient placés dans le commerce que tout irarit mieux)
- dans les réactions (un Lorrain a le droit de boire du crémant lorrain… régionalisme, le but ultime de l’AOC. On est loin de l’idée de départ, qui était tout le contraire).
Tout y est du modèle appellation. Mais votre commentaire achève le tout : effectivement, continuons à user le modèle jusqu’à la corde. Inefficace, poujadiste, passif, corporatiste. Sans ambition, quoi.
D’un manière assez surprenant, l’INAO nous vend un gigot qui ne veut pas cuire (même en Bourgogne), mais tout le monde en veut un bout.
Je ne comprends plus.