« Nous étions à cent lieues de la poésie de nos graffitis ».
N’ayant pas assisté à la scène que vous racontez, je ne puis mesurer les lieues en question. Mais pour la poésie je confirme, au moins celui que les potes anars avaient tagué (comme on dit maintenant) face au RU de la Lombarderie :
« Ni Dieu ni maître » (bon, ça c’est la basique)
Des cacathos outrés étaient venus pour détourner le sacrilège barrer les deux « ni » et rajouter des mots de sorte que le slogan devienne « Dieu, le seul maitre », souligné d’un vengeur « et il sera défendu ! »
Mes potes avaient eu le dernier mot avec un ajout coquin : « Aaaamen !