Ce que j'en pense, cher Jacques, je l'ai écrit vendredi soir, dans cette chronique qui a du t'échapper, noyée qu'elle était au milieu d'une soudaine poussée d'écriture, entre anti-patriatisme primaire et Dernier tango à Barcelone. Je comprends que la politique et la sodomie aient davantage attirer ton attention…