Ah bé, ça alors ! Jamais entendu parler. Et en plus, il faut cogner dessus.
Je viens de me renseigner : dans les restos du VIème arr., on appelle ce genre de bivalve un Oussekine : plus on tape dessus, meilleur il est. On le sert à la mode Devaquet, avec beaucoup de sauce.
Jacques, merci de nous avoir apporté cette science nouvelle. Quand on n’est pas occupé à perdre son temps à pisser sur les « tasting », à encenser tel autre événement un peu « grunge », à défendre Pierre et à attaquer Jean, on fait dans le bernacle du riche, dans le bigorneau du nanti, dans la telline de l’aristo.
Par contre, l’association entre les terroirs d’origine marine (des calcaires à huîtres de Saint-Estèphe au coteau de Iphofen en Franconie en passant par le Muschelkalk vosgien) et leur qualité d’accompagnement des fruits de mer ... je ne suis pas sûr qu’il y ait un lien de cause à effet.
Tu me diras – Léon is hitting back – que les boues de ville répandues sur certains vignobles incitent les gens à boire ces vins sur de la bouffe de merde ... Ah là, on redevient classieux, les petits mecs.