Bonjour Jacques,
Merci pour cette histoire du cornichon.
Dans les récoltes et travaux saisonniers, le ramassage des cornichons était dans les dicussions de ceux qui les faisaient, la référence de pénibilité. Le dos courbé et les mains usées par les petits piquants des vriétées que tu cites.
En dehors des cerise locales, il y avait ce travail. Et même ici sur les terres caillouteuses du chablisien, certains vignerons cultivaient un bout de champ qu'ils destinaient à ce travail penible après une journée de vigne. Sur le trottoir on voyait des seaux à vendanges remplis de cornichons. Le ramassage se faisait tout les jours.
Cela a bel et bien disparu.
Bon dimanche,
Olivier