Edifiant et même Kafkaïen ! Le temps est venu de la réparation me semble-t-il !Le mot de la fin est pour Jean-Marie Guffens ! Sa conclusion est très juste et très belle. Ce qu'on appelle, à tort ou à raison, le lobby viticole pourrait trouver là matière à se manifester et à prévenir qui de droit qu'un manque de déontologie, et même d'humanité comme celui-ci ne sera plus jamais possible impunément !Notre profession sait ce que déontologie veut dire, et le public est en droit de l'exiger de notre part. La moindre des choses serait de l'exiger également de la force publique !