Halte, Denis, ami, ne m’asticote pas. Je ne fais que faire remarquer, sans opprobre. Lis la suite : « j’ai rien contre » / « je ne crois pas à la propriété intellectuelle » / « si le vin est bon ».
Mon blanc à moi, c’est carrément « à la Picasso », l’étiquette. No problemo.
Amitiés, vieux râleur ! La vraie différence entre un anarcho-syndicaliste et un libertaire, c’est qu’on s’attend à ce que le premier foute le bordel, tandis que le secoind est réputé « gentil et cool ». Comme quoi, l’imagerie d’Epinal, hein .....