D'autant plus regrettable de ne pas nommer les Champagnes de Jacques Beaufort, qu'en aucun temps, les dégustateurs de la RVF ne nous font part du taux résiduel de sucre. Ce serait pourtant une information diablement pertinente. En quoi, ce taux est-il important dans un article sur les vins bios?
Et que dire de l'absence des Tissot, Chapoutier, Deiss et autres tenant de la biodynamie?